La cravate passée autour du cou, le nœud coulant, l’autre extrémité attachée à l’espagnolette... Si seulement Valence était allé jusqu’au bout ! Même pas. Et voilà qu’aujourd’hui il est assis devant le commissaire qui lui explique qu’on a retrouvé le cadavre — identifié sans peine, malgré huit mois de décomposition. Tout porte à croire qu’il s’agit d’un assassinat. Et bien sûr — le commissaire n’attend plus qu’une confirmation — tout porte à croire que l’assassin, c’est Valence...