En ces temps ombrageux où les valeurs tombent plus vite que les murs, on ne sait plus trop de quel bord on est puisque des bords, justement, il n’y en a sans doute plus… Peter-Rowland de Capestrange a-t-il vraiment envie, entre deux séances de décoiffement à la vodka, de mouiller ses anciennes connaissances de l’époque où il travaillait pour le GRU et, ensuite, pour le KGB, afin de savoir qui prétend annexer quelques tonnes de plutonium ? Ce « diplomate de l’ombre » qui officie en principe pour le compte du gouvernement français a peut-être d’autres spectres à fouetter… Ou peut-être pas.