La pâle et touchante Marie-Louise finit ses jours en marge du monde des gens dits « normaux ». Les souvenirs d'un passé reviennent par bouffées, entre l'époux médiocre, le sadisme sournois de l'entourage et la mémoire d'un amour manqué, celui qu'elle voua à son cousin qui l'initia à la beauté des choses... en lisant Tourgueniev.