Pour Jacques Brenner, la poésie n'est que chant et musique, et c'est dans cette musique qu'éclot la liberté : Terre promise, ô poésie, où les choses vont chantant, c'est le rêve dans la vie ou la conquête du printemps. Le poète retrouve la forme et le rythme léger des chansons, où l'on entend parfois comme un écho d'André Gide, ou, si l'on veut, l'acquiescement à son conseil : Le bonheur vient, tends les mains, le bonheur passe, suis sa trace.