Les deux consolations de l'existence de Jouhandeau assombrie par le difficile caractère d'Élise, l'éloignement de Céline, lui viennent de son ami Jean-Claude et du petit Marc. Le petit garçon estropié, soigné à l'hôpital, reste son principal souci. Si Jean-Claude qu'il aime avec intensité comme s'il était un pur esprit est son second soleil, la lumière lui est donnée par le sourire de Marc souffrant sur son lit. La science et l'élégance de l'amour permettent à Jouhandeau d'accéder à la vraie possession qui est celle de la permanence du désir.