L'essai s'attache au scénario dans lequel Nicolas Sarkozy se verrait consentir un nouveau mandat présidentiel, par un choix contraint et malgré les affaires qui le poursuivent. Et il montre les voies citoyennes et constitutionnelles pouvant alors amener à la destitution de l'intéressé, sanction qui serait prononcée pour ses manquements à ses devoirs de premier magistrat de la République afférents à son mandat initial. Une destitution que le Parlement a la faculté de mettre en oeuvre depuis la révision constitutionnelle de 2007.