Il nous parle de l'ennui que lui cause la peinture, de l'indifférence qu'il apporte à la réussite d'un tableau, en même temps qu'il s'entretient bavardement du goût qu'il a à écrire, du petit battement de coeur à son réveil, de la petite fièvre à laquelle il se reconnaît apte à la composition d'un bouquin, et malheureusement des longs intervalles, et des années qui séparent un livre d'un autre, en sorte que lorsqu'il se remet à la copie, il est incertain s'il sait encore écrire.