Ecrire sur l'histoire des civilisations, l'immigration et la révolution tunisienne, c'est rendre accessible des événements encore trop récents et qui échappent pour l'instant à l'archivage national. Exhumer ces faits oubliés, c'est explorer "l'arrière-pays" de ces évènements, sans faire pour autant le procès de quiconque. Evoquer la mémoire de ces étrangers, expliquer la révolution tunisienne, c'est tenter de contribuer à un dessein de science sociale.