Après 10 tomes de Gai-Luron plutôt destinés à la jeunesse, Gotlib a ressenti l’envie de libérer son personnage fétiche de la bienséance et du politiquement correct. Fini les parties de batailles navales, marelles et autres innocentes fariboles juvéniles, Gai-Luron et Belle-Lurette souhaitent passer à d’autres activités, plus... sensuelles. Leurs rencontres sont prétextes à des dialogues ambigus, tendancieux. Mais, nos héros sont rarement en phase et leur manque d’esprit d’entreprise les laisse bien chastes, finalement.