L’écrivain avait rendu un service signalé à Marie-Thérèse Geoffrin, fameuse par le salon littéraire qu’elle tint avec tant de distinction. Pour lui témoigner sa reconnaissance, elle fit un jour déménager tous les pauvres meubles du philosophe et les remplaça par d’autres qui, quoique plus beaux et meilleurs, ne méritaient pas cependant, parait-il, un éloge si pompeux.