Ferdinand, fringant journaliste originaire de Port-au-Prince, suit son train-train quotidien à Paris jusqu’à ce message laissé sur son répondeur par Jenny, son amoureuse américaine : « Ferdinand, je suis à Paris. » Voilà notre héros partagé entre Jenny qui débarque et Olivia, son amante parisienne. À ce tourbillon amoureux s’ajoutent son roman à finir et ses articles à écrire, les soirées entre amis et les factures en souffrance, l’actualité en Haïti et la vie du quartier… Sans oublier la présence de son fidèle compagnon de route : un lapin nommé Cassegrain. Avec Ferdinand je suis à Paris, Jean-Claude Charles signe une partition endiablée, véritable chant d’amour à la vie trépidante parisienne.