À 15 ans, Grace Welles s’est résignée à sa solitude de fille singulière dans un pensionnat de seconde zone perdu au fin fond de la Floride. Son père vit en Californie, où il a une famille légitime, et sa mère vit... sur une autre planète peuplée de licornes. Tout bascule cependant le jour où Grace sauve un nouvel élève de sa classe sur le point de se faire tabasser : d’un seul tir de son lance-pierre, elle fait exploser pour toujours la monotonie de sa vie d’adolescente. Grâce à ce Wade Scholfield qu’elle n’a pas vu venir, sa vie ne sera plus jamais la même.
Avec lui, Grace découvre qu’une autre existence est possible, où les règles du lycée ne sont pas si tragiques et où une simple conversation sur les tunnels spatio-temporels peut conduire à des baisers passionnés capables de mâter son cerveau toujours en ébullition.
Alors, pourquoi diable se retrouve-t-elle à briser en mille morceaux le cœur de Wade ? Et que peut-elle faire en comprenant enfin que l’univers ne tourne pas autour d’elle et que, sous ses airs désinvoltes, Wade cache un lourd secret ? Se pourrait-il qu’elle soit finalement la seule à pouvoir l’aider ?
Ce récit acide et sensible raconte avec justesse et sensibilité l’histoire de deux êtres qui se trouvent et se déchirent, puis grandissent. Le portait d’un premier amour flamboyant sur fond d’amitié, de poésie, de bouillonnement hormonal et de fous rires.
Mercedes Helnwein vit à Los Angeles. Plasticienne réputée, belle comme une pin-up dans un film de David Lynch, elle a grandi dans des châteaux en Irlande et en Allemagne. Normal pour la fille d'un artiste viennois dont les amis s’appelaient Keith Haring et Mohamed Ali... Elle est l’auteure d’un premier roman, La Ballade d’Hester Day (La Belle Colère, 2014).
« Mercedes Helnwein excelle à écrire la joie, la peur et la maladresse du premier grand amour. » – Publishers Weekly
« L’écriture et les dialogues, sont magnétiques, honnêtes, pétillants d’humour, et excellent à décrire le grand huit des amours adolescentes. » – Booklist
« Sauvagement réaliste et éclatant du romantisme et de la souffrance inhérents à tout apprentissage. » – Kirkus