Dans la quasi indifférence nationale, et dans des conditions dont l’honneur était absolument exclu en 1962, le pouvoir gaulliste a livré l’Algérie à un quarteron de tueurs. Seule pour la France, l’O.A.S. a témoigné. Mais du jour où Degueldre fut exécuté et Salan en prison, l’honneur français se trouva au tombeau.