L’Europe doit-elle être un levier favorisant des réformes qui ont du mal à voir le jour, ou est-elle, comme l’affirment ses détracteurs, une invention antidémocratique ? Les sacrifices sociaux imposés à l’occasion de la marche vers la monnaie unique étaient-ils justifiés ? Bref, est-il possible de poursuivre cet ambitieux projet sans « défaire la France » ?