En quoi le meurtre d'une certaine Pauline de Chalin concerne-t-il Sherlock Holmes ?
Certes, il n'est pas banal qu'une femme de conseiller d'ambassade français soit égorgée dans un confessionnal, de surcroît dans une église si éloignée de chez elle, mais l'affaire ne suscite que peu l'intérêt du grand détective... Jusqu'à ce qu'une lettre signée Le Cancrelat renverse la situation : l'assassin défie personnellement Sherlock Holmes de l’arrêter avant qu’il ne fasse une autre victime.
Béatrice Nicodème nous replonge avec beaucoup de bonheur dans l’ambiance du roman holmesien (...) Une affaire épouvantable menée par un imitateur de Jack l’Eventreur, plus ignoble, si c’est possible, que son modèle, et où passent les silhouettes d’Oscar Wilde ou de Bertillon, l’inventeur de la police scientifique. Un régal. Le Libre Journal