Tiré d’un journal autobiographique rédigé au milieu des années 90, ce roman décrit un jeune homme en pleine errance.
Ecrit à l’encre de Bacchus avec du liquide reproductif, il couche sur nos illusions les réflexions d’un «garçomme» obsédé par la mort, le sexe et le manque d’argent. Pour lui, la vie est un marathon qui se court comme un cent mètres.
Ce journal qui raconte la vie désargentée des gamins des cités nous renvoie 30 ans en arrière, en ces temps bénis où les croyances ne nous pompaient pas le dard. Plus qu’un hurlement dans le bitume, plus qu’un condensé de débauche, cette météorite dopée sans anabolisant est avant tout une incroyable ode à la vie.
Entre fiction et journal autobiographique, l’auteur signe un second roman décapant.
