Que se passe-t-il donc dans le crâne aveugle de Zatoïshwan ? Le contact avec les barbares occidentaux aurait rendu fou cet expert en arts martiaux Pandawas ? Un lait de bambou frelaté serait venu à bout de son âme charitable ? Souvent, les choses sont plus compliquées qu’il n’y paraît, surtout pour les voyants. L’aveugle, lui, laisse parler son coeur. Car comme le dit si bien le proverbe : « la sérénité se trouve tout au bout du long chemin vers la vérité »…