Sous la direction de Nathalie Brillant Rannou, Marion Sauvaire, François Le Goff
Longtemps refoulé de l’enseignement car suspecté de nuire à une acquisition rationnelle des savoirs, le sensible est aujourd’hui objet de considération, tant dans le champ scolaire que dans l’espace social. Levier capital pour la communication, vecteur de vie commune et de partage, le sensible concerne au premier chef la didactique de la littérature qui, depuis plus de vingt ans, interroge les capacités d’apprentissage du sujet lecteur.
Dans ce premier volume rassemblant une partie des travaux présentés lors des 20es Rencontres des chercheuses et chercheurs en didactique de la littérature, des spécialistes rendent compte diversement des effets de la prise en compte du sensible en cours de français, depuis la maternelle jusqu’à la formation des enseignants. Les notions de corps sensible, d’empathie fictionnelle, de voix, parmi d’autres, balisent la sélection d’expérimentations analysées.
Avec la participation, par ordre d'apparition :
Sonya Florey, Noël Cordonier, Cécile Couteaux, Marion Mas, Anne Schneider, Isabelle Henry, Bénédicte Shawky-Milcent, Nathalie Brillant Rannou, Ana Dias-Chiaruttini, Aurélie Armellini, Sylvie Laurent-Farré, Nadine Pairis, Véronique Larrivé, Neide Luzia de Rezende, Gabriela Oliveira, Sarah Vervloet Soares, Samira Bahoum, Samira Malaki, Nathalie Borge, Kirsten Husung, Rosiane Xypas, Tonia Raus, Sébastien Thilges, Corinne Frassetti-Pecques, Caroline Allingri, Antje-Marianne Kolde, Catherine Fidanza, Bénédicte Duvin-Parmentier, André Scherb, Claudine desmoulières, Virginie Glory.