La douleur physique est généralement plus acceptable socialement que la douleur psychique.
La preuve en est que la plupart d’entre nous consultent plus souvent les médecins et les naturopathes que les psychothérapeutes et les psychanalystes.
Pourtant notre souffrance affective n’en est pas moins réelle. Cependant, comme nous l’acceptons difficilement, nous avons plutôt tendance à la refouler qu’à l’écouter. La conséquence en est que notre propre monde intérieur nous est inconnu.
Il en résulte qu’il influence nos actions, nos choix, nos décisions et nos réactions à notre insu. Ainsi, notre cœur souffre en silence et sa blessure croît de jour en jour parce qu’elle n’est pas écoutée ni identifiée.
Ce nouveau Petit cahier d'exercices exceptionnel est complété par le Petit cahier d'excercices pour guérir les blessures du cœur du même auteur.