Ces paroles retentirent sans cesse à ses oreilles, et saisirent tellement sonimagination, qu'il n'eut pas de repos avant d'avoir composé quelquesstrophes sur ce refrain. Il les montra à ses amis, qui le pressèrent vivementde ne pas laisser son ouvrage imparfait : ce n'était d'abord que des coupletsisolés qu'il réunit ensuite dans un même cadre. Lorsque Lénore futachevée, Bürger la lut à la société littéraire de Gœttingue ; arrivé à cesvers .