Moi, Félix, 10 ans, sans-papiers. En France, je suis un clandestin, un hors-la-loi, un étranger. Mais même si la Côte d'Ivoire me manque, pas question d'y retourner porter des sacs de café ou travailler dans les champs. L'avenir est incertain, mais demain je serai français.