« Toutes les femmes ont un père : il faut bien comprendre ceci, qui n'est pas une évidence. Toutes les femmes ont un père : cela veut dire que toutes les femmes sont condamnées au malheur. »
Parce que, un jour, elle reçoit la lettre d'un inconnu qui lui dit être le fils de son père, qu'elle le croit sans hésiter, Hélèna, la narratrice, va réexplorer son passé.
Long cri, Mon Père est aussi une prière de ferveur qu'un fille trop aimante adresse à un père qu'elle a trop aimé.
Peut-on haïr et aimer à la fois ?
Au fil de sa lente dérive, avec une voix belle et grave, tendue à l'extrême, Héléna, mère et fille, enfant et maîtresse, découvre une autre vérité.