« Maman dit que cette langue de terre qui s’avance sur les flots s’appelle Nami-no-kuni, ce qui veut dire le pays des vagues en japonais. Elle dit que nous ne serons bientôt plus seules, qu’en apprenant que certains sont parvenus à survivre ici, d’autres nous rejoindront. Alors chaque jour, je guette la mer, la forêt, les rizières. Je suis la sentinelle de Nami-no-kuni. »