Au fil de la dizaine d’ouvrages qu’il a composés de 1976 à 2010,Zecharia Sitchin a exploré sans cesse, sous des éclairages érudits, toujours la même thèse fondamentale : l’Homo Sapiens n’est pas le fruit d’une évolution darwinienne continue, mais une création génétique, l’hybridation entre l’ADN des créateurs de l’homme et celui d’un hominidé terrestre. Quels créateurs ?
La civilisation très avancée originaire de la « douzième planète » encore invisible du système solaire, une planète à l’orbite si vaste qu’elle tourne autour du Soleil en 3 600 de nos années... Un savoir conté par les épopées akkado-sumériennes que Sitchin lit comme un recueil à portée scientifiqueet non pas du tout comme autant de contes à dormir debout.
Existe-t-il quelque part sur Terre un endroit
où il sera possible de transcender la mort et de rejoindre les dieux ?
Oui, nous crie notre mémoire des « mythes », qui clame son existence depuis toujours. En gravissant Les Degrés du ciel(Stairway do heaven), deuxième tome des Chroniques terriennes, Zecharia Sitchin ouvre son exploration unique de l’histoire de la Terre et de l’humanité en partant sur la piste de cette puissante aspiration de l’homme à retrouver ses dieux.
Sitchin confronte l’énigme des pyramides à ces « légendes » de la quête humaine de l’immortalité. Il plonge dans les vies des pharaons d’Égypte qui enseignent comment voyager le long de la Route des dieux de la « vie éternelle après la mort ». Il décode la vie du roi sumérien Gilgamesh qui alla au bout de la Terre pour « escalader le ciel » et échapper à son destin mortel. Il suit à la trace Alexandre le Grand qui se pensait le fils d’un dieu. Il retrouve les pas de Ponce de León, l’explorateur de la Floride parti sur la piste de la légendaire fontaine de jouvence. Pour nous placer sous le regard du sphinx d’Égypte, le « guide sacré », qui contemple toujours les Degrés du ciel, la recherche archétypale de la vie éternelle.