Embruns d’Exil Traduits du Silence, l’avant-dernière partie des journaux américains. Ensuite les Transistors de l’Innocence envahiront le village global. La Fenêtre Rose, le Juke-Box d’Hydrogène, la fosse aux visions, à travers l’Amérique, de 1963 à 1970, reniflant à travers les villes les micros hystériques, comme les chiens de la CIA, embusqués dans les coulisses de la Génération Grise, malaxant les organes sexuels, arrachant les ventouses, criant à Ozone Park il n’y a pas d’amour heureux. Aujourd’hui tout est fini, effroyablement niais. Les rebelles sont partis dans l’aube violette, avec leur mosaïque électrique, ils se sont évanouis sur l’Ecran de quinine.