J'adorais non seulement la chair de Lucienne mais ses volontés, ses inspirations. Je me laisserais conduire par elle, sur sa chair et sur la mienne, aussi lentement et par autant de détours qu'il lui plairait, jusqu'à l'union de son corps au mien, union qui pour moi aussi devenait en effet si importante, se chargeait par avance de tant d'émotion et d'une telle qualité de jouissance qu'il m'aurait paru déraisonnable d'en abréger les préparations elles-mêmes délicieuses.