Et si ceux que nous avons aimés revenaient à la vie ?
Arcadia, petite ville du Sud des Etats-Unis, perdue au milieu des champs de blé et de soja. Là, comme partout ailleurs dans le monde, un phénomène incompréhensible, inconcevable, se produit…
En ouvrant sa porte, Harold, quatre-vingts ans, découvre devant lui la silhouette menue d’un petit garçon : celle de son fils Jacob, tragiquement disparu voilà près d’un demi-siècle, et aujourd’hui revenu de la mort.
Il a beau savoir que partout sur la planète le même phénomène inconcevable se produit, Harold a soudain l’impression que tout ce qu’il croyait sûr et intangible dans le monde vient de s’écrouler aux pieds de ce petit garçon au sourire bouleversant, et dont la mort, cinquante ans plus tôt, a manqué d'emporter sa raison. Et même s’il ne sait pas qui est vraiment l’enfant qui lui fait face, il sait qu’il n’aura pas la force de refuser cette seconde chance. Et qu’il fera tout pour protéger son fils. Le protéger comme il n’a pas su le faire autrefois.
Alors que le gouvernement tente, entre brutalité et aveu d’impuissance, d’endiguer le phénomène, et qu’une partie de la population exprime violemment son rejet, ceux qui font face au retour d’un être cher se retrouvent confrontés aux mêmes questions : les Revenants sont-ils vraiment les mêmes qu’autrefois ? Et pourquoi sont-ils revenus ?
A propos de l’auteur
Si c’est l’amour de la littérature classique et du cinéma qui pousse Jason Mott à écrire des histoires, c’est dans un rêve fait après la mort de sa mère — un rêve d’un troublant réalisme — qu’il a trouvé le sujet de Face à eux. Empreint de magie, de suspense et d’émotion, Face à eux est son premier roman. Les droits d’adaptation en ont été cédés à la société de production américaine abc : une série télévisée (Resurrection) est en cours de tournage. Jason Mott vit en Caroline du Nord.
Ce qu'en dit la presse :
« Un premier roman exceptionnel, où Mott fait cohabiter drame, joie et rédemption, et où le monde moderne doit vivre avec l’inexplicable. » Publishers Weekly
« Un roman époustouflant. » Kirkus
« Un premier roman magistral. » Library Journal