Être soi pour mieux définir ses doubles et, par là même, voir autrui apparaître, et parler dans la pénombre pour que le corps devienne la horde des mots. Écrire est se tuer, et la mort l'autre côté de vivre : aussi le désir de renaître jadis, devient un perpétuel présent, où paysages et maisons se fondent en un lieu unique. La mémoire engendre le fantasme ; le fantasme engendre la solitude, où se dissimule celui qui tente de faire escorte avec le sacré et les images de la souillure.