Ce dossier [...] témoigne de la difficulté insistante qu'il y a à nommer, en France et en français, tout un champ d'études qu'on désigne dans une bonne partie du monde comme gender studies. Si de telles études ne sont pas absentes de l'univers intellectuel et universitaire français, elles ont certainement mis plus de temps à y conquérir, en même temps qu'un nom, une légitimité et une visibilité.