Une chronique new-yorkaise raffinée et pleine d'esprit.
*** RENTRÉE LITTÉRAIRE 2015 ***
Florence Gordon est directe, brillante, acariâtre et passionnée. Maîtresse femme, elle est capable de réduire les imbéciles au silence d'une seule de ses piques acérées. Icône féministe aux yeux de l'intelligentsia, invisible au reste du monde, à soixante-quinze ans, elle a mérité - enfin ! - de se délester du fardeau des autres pour se consacrer à son œuvre. Mais à peine a-t-elle entamé ses mémoires, si longtemps différés, que sa quiétude est menacée par l'arrivée de sa famille. Son fils, Daniel, qui fait son désespoir depuis qu'il a intégré la police, revient s'installer à New York avec sa femme, Janine, et sa fille, Emily. Florence se retrouve alors impliquée bien malgré elle dans leurs mélodrames familiaux qui vont assombrir ses journées et menacer son rempart de solitude. Sans parler de son pied gauche, qui commence à la faire boiter...
" Un roman extrêmement vivant, qui sait donner à chacun de ses personnages l'épaisseur qu'il mérite. Extrêmement vivant et non moins réjouissant. "
Le Monde
" Brian Morton se montre drôle, incisif dans le portrait endiablé d'un sacré bout de femme et de son entourage. "
Livres Hebdo
" C'est toujours un plaisir de lire Brian Morton, ses personnages bien campés, ses dialogues et ses introspections discrètes qui pétillent d'esprit. Dans La Vie selon Florence Gordon, il bat ses propres records à tous points de vue. Et il rejoint le cercle malheureusement restreint des auteurs masculins capables de créer des héroïnes mémorables. "
Kirkus Reviews
" Brian Morton taille ses personnages dans le vif, tant dans leur tempérament que dans leur comportement, et sa prose révèle subtilement toute la force et la dignité de Florence. "
Publishers Weekly
" Un roman intelligent et drôle. "
The New York Times Book Review
" Acéré et amusant. "
The New Yorker
" Un récit habilement construit. "
Chicago Tribune
" Charmant. Brian Morton écrit une fin qui oscille entre la tristesse et l'espoir et qui, à l'image de la vie, n'est pas décisive. "
Wall Street Journal