Si la dystopie offre un moyen d'envisager le monde de demain, elle permet aussi d'explorer ce que sera le sexe demain. Ces deux séries dystopiques, « LeXus » et « Un nouvel Éden », en sont le parfait le exemple.Dans un monde futuriste où les lois d'un régime totalitaire régissent les plaisirs solitaires ou accompagnés, où le sexe devient un symbole de réussite sociale, le désir et les fantasmes prennent une toute autre allure, mais ne tarissent jamais. (LeXus)Ils ne tarissent pas non plus sur ce vaisseau fuyant la Terre en ruine et en quête d'une planète capable d'accueillir la vie. Un nouvel Éden. À son bord, Eva Sharpman, sexothérapeute, offre ses services à tous, hommes comme femmes, pour régler leurs problèmes sexuels. Mais le voyage ne se passe pas toujours comme prévu, même en plein espace intersidéral. (Un nouvel Éden)Cette intégrale est composée des nouvelles suivantes :Un nouvel Éden 1Un nouvel Éden 2Un nouvel Éden 3Un nouvel Éden 4Un nouvel Éden 5Un nouvel Éden 6Un nouvel Éden 7Un nouvel Éden 8LeXuS : Pold, les Renégats LeXuS : Ild & Legassov, les Partenaires LeXuS : Lazare, les Spoliés LeXuS : Don, les Opérationnels LeXuS : Satie, le Praegressus LeXuS : Lucrèce, les Infortunés LeXuS : Axis, les Travailleurs LeXuS : Mucha, les Consommateurs LeXuS : Azad, la Garde Juste LeXuS : Théodora, les Travailleurs LeXuS : Les Fondateurs-
